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Harmonie raciale : implications pour l’EENI

L'important est la personne, l’individu, au-delà de leur ethnie, couleur, sexe ou religion



Au-delà des touches noires et blanches

Principe de l’harmonie raciale (EENI, Kwegyir Aggrey)

  1. Le principe de l’harmonie raciale de l’EENI
  2. Le principe de l’harmonie raciale James Emman Kwegyir Aggrey (touches noires et blanches)
  3. Le principe de l’harmonie raciale de James Emman Kwegyir Aggrey et le Tristan et Isolde (Réflexion de Pedro Nonell)
  4. Au-delà des touches noires et blanches (implications pour l’École d’Affaires EENI)

Wagner a fini de composer le Tristan et Isolde en 1859, il y a environ 150 ans. Il y a eu une première tentative échouée de faire la première de l’opéra à Vienne, mais après 77 essais, le directeur d’orchestre et les musiciens ont déclaré que le Tristan était « in-interprétable », c’était une musique trop différente, très loin des règles traditionnelles de l’harmonie.

En 1865, le Tristan et Isolde est enfin diffusé à Munich, sous la baguette du grand chef d’orchestre Hans Von Bülow (marié avec Cosima, la fille de Franz Liszt et la future épouse de Wagner), et avec l’aide inestimable d’un visionnaire : le roi Louis II de Bavière, qui a financé et facilité tous les moyens pour la première.

Un roi qui est entré dans l’histoire non pas à cause des guerres, mais à cause de son soutien à l’art.

Le Tristan et Isolde est le fruit de l’amour sublime que Wagner a expérimenté pour Matilde Wasendock. Peut-être en Occident jamais une musique est devenue si proche d’un sentiment.

Derrière d’une partition, il y a un sentiment que l’auteur veut transmettre. Un sentiment est infini, il ne peut pas être mesuré. L’auteur doit faire un énorme effort pour capturer l’infini dans la partition, finit par définition. Quelque chose est perdu dans ce processus. A partir de ce moment, l’auteur perd le contrôle de son travail ; cela dépendra de la façon dont chaque musicien l’interprète.

C’est la responsabilité de l’interprète d’essayer de transmettre ce sentiment originel de l’auteur à celui qui l’écoute. L’interprète peut respecter ou non la partition, d’abord il doit l’étudier, à la fois rationnellement et émotionnellement, et quand il la touche, ce sera son cerveau qui envoie des signaux nerveux à ses muscles, pour que finalement ses doigts puissent percuter les touches, noires et blanches, du piano. Ces notes voyagent sous forme de vagues à travers l’espace, et à la fin elles excitent, ou non, le public.

Derrière les 88 touches du piano, il y a un mécanisme complexe qui permet à une série de cordes de vibrer pour produire le son. L’octave la plus basse du piano n’a qu’une seule corde, les deux suivantes, et toutes les autres, ont trois cordes.

Si on observe les près de 230 cordes du piano, on peut voir qu’il n’y a ni des « cordes blanches » ni des « cordes noires », simplement des cordes. Quand nous jouons l’accord de Tristan, des dizaines de cordes (ni noires ni blanches) vibrent à l’unisson pour transmettre ce sentiment.

accord de Tristan (harmonie raciale)

Et c’est le principe que nous appliquons à l’École d’Affaires EENI. Il y aura des étudiants noirs, blancs, métis, sénoufos, dogons, touaregs, kanuri ou lobi. Il y aura aussi des étudiants ou des professeurs turcs ou chinois, mais, comme au piano où les touches ne sont que l’extérieur, l’important est la personne, l’individu, au-delà de leur couleur, ethnie, sexe ou religion.

Mais l’EENI peut aider des dizaines de milliers d’Africains dans les prochaines décennies à accéder à un enseignement supérieur de qualité à des prix abordables (mission de l’École d’Affaires EENI). Nous pouvons les aider à trouver un meilleur emploi, et finalement nous pouvons contribuer au développement socio-économique du Burkina Faso et d’Afrique.

EENI est transafricaine, elle est organisée en réseaux de connaissances répartis dans les 54 pays africains ; nous aurons des enseignants, des étudiants et des départements par toute l’Afrique.

Afin d’offrir des prix abordables, nous focalisons notre stratégie sur le fait de considérer l’apprentissage en ligne comme une innovation disruptive. Toutes ces caractéristiques font que notre modèle d’université et d’affaires soit très différent d’une université traditionnelle. Et pour cette raison, nous avons mis en place le principe de l’harmonie raciale fondé sur les réflexions de James Emman Kwegyir Aggrey.

James Emman Kwegyir Aggrey (harmonie raciale)

Pedro Nonell, fondateur et président de l’École d’Affaires EENI.

Pedro Nonell (EENI Global Business School)

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